Un passant perd les instants d'une Marynn qui a bien grandi.

Lorsque je suis tombé par hasard sur ce blog, lorsque après être passé par plusieurs chemins on se retrouve dans un lieu sans bien savoir comment on y est arrivé, il y a de ça plus d'un an, je fus de suite  fasciné par ce journal. Fasciné par la qualité de la plume de son auteur, et surtout par sa sincérité. Pas toujours d'accord avec ses propos, ses phases réactionnaires ou de déprimes, j'ai toujours trouvé se blog authentique et profond. Puis j'ai aimé Amélie Nothomb, moi qui lis si peu. Puis je me suis souvenu de mes lectures de Boris Viand. Je me suis rappelé que j'aimais le latin, et l'allemand et l'anglais. Je suis allé voir Spider Man (great power means great responsabilities), voir le vendeur de la FNAC aux champs. Je me suis dit que j'avais du croiser Marynn des dizaines de fois sans le savoir; à Montreuil, dans Paris, à la gare de Lyon, peu importe. J'ai vu quelqu'un qui doute énormément de soi, et qui a d'énormes talents. J'ai vu quelqu'un s’épanouir, jours après jours, quitter ses démons nocturnes pour s'ouvrir à la vie. Cette joie de vie si présente dans ce blog et blessée à la fois.

Je quitte ces tranches de vies qui certes ne me regardaient pas, mais qui m'ont apportées beaucoup de plaisir à lire et à aimer lire. Pour tout cela je te remercie. Je n'oublie pas que ce Blog est avant tout le tien.
A l'avenir, rien ne me ferait plus plaisir de pouvoir lire un article, un livre portant ta signature.

Bonne route Marynn.

hum, on est obligés de lire la liste en entier ? :D

(ok je sors)