Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)


Stop
Connaissez-vous ces tâches de moisissure qui simulent un profil ? Je ne sais quel charme de ma lèpre trompe le monde et l'autorise à m'embrasser. Tant pis pour lui. Les suites ne me regardent pas. Je n'ai jamais exposé que des plaies.
On parle de fantaisie grâcieuse : c'est ma faute. Il est fou de s'exposer inutilement.
Jean Cocteau

Maintenant, vous pouvez toujours voir par là :

Impairs/Instants
Pairs/Passants

Madame Solène SVP

De verre en vers, au Bar de l'Univers, je pars.. De bière en bière, j'ai plus les pieds sur Terre..

Prénom : Léopoldine, depuis mercredi 27 avril
Nom : Antistar
Née le : 6 Juillet 1820, selon mes amies
<Aurait voulu être née le : 1e Mai 1948 pour fêter mes 20 ans en Mai 68>
A : Paris 11e, selon un physionomiste
Signe particulier : Parle en vieux français et exige 4 bises, pas une de plus pas une de moins.
Profession : Bouc-émissaire, comme Malaussène
Aime : Les concerts, les fous rires, jouer au loup-garou
Déteste : Rentrer chez moi
Boulimie : .Perso. -- .En projet. -- .Scolaire. --

Et pas s'aimer ça fait mal, quand on vit pas dans la Cité des Etoiles..


Entrée

Graffitis
* Un jour, il y aura autre chose que le jour [Boris Vian]
* If the children are running and they don't look where they're going I have to come out from somewhere and catch them. I'd just be the catcher in the rye and all. I know it's crazy but that's the only thing I'd really like to be. [J.D. Salinger]
* They are the elect to whom beautiful things mean only Beauty. [Oscar Wilde]
* Einer wenigstens soll über all dies Elend, einer soll über uns alle sich erheben können ! (Il y a forcément un homme qui puisse s'élever au-dessus de toute cette misère, au moins un au-dessus de nous tous !) [Bertolt Brecht]
* Ibant obscuri sola sub nocte per umbram perque domos Ditis vacuas et inania regna [Virgile]
* Nous méritons toutes nos rencontres. [François Mauriac]
* On n'est plus qu'un vieux réverbère à souvenirs au coin d'une rue où il ne passe déjà presque plus personne. [Céline]
* It's... beyond... my control. [Dangerous Liaisons]
* Il a dit qu'il n'existait pas d'ailleurs. [Philip Pullman]
* Tell about what we're gonna have in the garden and about the rabbits in the cages and about the rain in the winter and the stove, and how thick the cream is like you can hardly cut it. Tell about that, George. [Steinbeck]
* J'implore ta pitié, Toi, l'unique que j'aime, / Du fond du gouffre obscur où mon coeur est tombé. [Baudelaire]

Tapage nocturne
* Petite soeur de mes nuits, [...] sache que je n'oublie rien mais qu'on efface. A ton étoile.. [Noir Désir]
* Mam'selle Bulle avait un rêve un peu spécial : pour une bulle, quitter la Terre, c'est peu banal [Tryo]
* Dis-moi qu'un de ces jours, je retrouverai le courage pour avoir avoir la vie dont je rêvais. [Zazie]
* On ne devrait vivre qu'une minute et demie : le temps du premier baiser et du premier demi [Les Ogres de Barback]
* Ne te blesse que d'air pur, couvre-toi d'étincelles[Luke]
* Quatorze Juillet, rien à branler. Moi, mon amour s'est envolé, le jour où toi tu éclatais. [Les Tit' Nassels]
* Y'a des cigales dans la fourmilière, et vous pouvez rien y faire [La Rue Kétanou]
* A force de vivre comme on vit, à qui tu crois qu'j'vais dire merci ? [Wallen]
* Et c'est depuis le cours élémentaire, c'est depuis qu'on voudrait se la faire.. la Cité des Etoiles. [Magyd Cherfi]
* La caresse et la mitraille, cette plaie qui nous tiraille, le palais des autres jours, d'hier et demain va.. Le vent l'emportera. [Noir Désir]
* Au Cabaret des Illusions Perdues qu'on retrouve sans peine dès qu'on n'en parle plus.. [Castafiore Bazooka]
* Wedding bells ain't gonna chime.. [Placebo]
* J'veux du soleil dans ma mémoire [Au P'tit Bonheur]
* My head between my knees again, got needle set to zero [Massive Attack]
* Dans mes nuits blanches, il y a des pages blanches. [Benjamin Biolay]
* Consomme, consume, qu'on sème nos amours de petite semaine [Les Hurlements d'Léo]
* Je suis excessive : j'aime quand ça désaxe, quand tout accélère. [Carla Bruni]
* La question "Avez-vous déjà fait souffrir votre partenaire ?" a obtenu la réponse A, je n'arrive pas trop à m'y faire. [Vincent Delerm]

Itinéraire bis

Au coin de la rue

Passants
gneuh : interdite de son joueb ? lol :d
pas-pareil : Euh oui, c'était cocasse : la demoiselle trouvait qu'on se moquait trop d'elle, donc elle m'a interdite, moi et quelques autres je crois mdr (D'où le message sur son joueb, lieu où elle seule peut profiter de la liberté d'expression mdr)
Anonyme : a mon avis briget n a pas du comprendre que c'etait ton joueb
pas-pareil : Mdr possible..
Anonyme :
Air : Bonjour.. sympa ici, même si fermé.. Bisoux
MangakaDine : J'aimais bien ici....mais j'arrive toujours trop tard.
disturb : euh s'pas-pareil ! je te retrouve en plein hasard !! comment tu vas ?
paranoia : bonjour, j't'ai mis un lien sur mon blog, j'aime beaucoup ! XxX
pas-pareil : Et bien euh.. Merci :)
Nye : .
Novembre : (ahah, mort de rire)


Recherche

Morphee, My Valentine
Je suis fatiguée, moralement et physiquement. Les deux vont généralement ensemble chez moi.

Je dors presque debout. C'est la première fois de ma vie que je ressens autant la fatigue. Ce n'est même pas un manque de sommeil, car même des nuits de 7 heures ne suffisent plus à me tenir éveillée une journée entière.
Quand je pense que j'ai passé mes trois années de lycée à dormir moins de 7 heures par nuit, et que j'ai tenu jusqu'en décembre avec une moyenne de 5 heures par nuit..

Je suis fatiguée de réfléchir, fatiguée d'écrire, fatiguée d'avoir toujours un truc à rendre, fatiguée de ne pas pouvoir me projeter au-delà de la semaine à venir depuis début janvier, tant la simple pensée des trois prochains jours suffit systématiquement à me fatiguer. J'aime ce que je fais, mais pitié, des vacances, et vite.
En plus, j'ai l'impression de pédaler dans la semoule. J'ai des notes correctes (voire bonnes pour certaines), mais qui stagnent. J'ai rendu presque tous mes devoirs en retard depuis la rentrée de janvier, et mes colles n'ont pas forcément été aussi bien que je l'espérais.
Il est vrai que je suis exigeante avec moi-même, et que je ne peux pas me dire "c'est suffisant, arrêtons là". Mais janvier et février ne m'ont décidément pas aidée.

Enfin, s'il n'y avait que cette fatigue physique qui me prenait, je saurais à peu près me débrouiller. Mais je plie également sous le poids de mes éclairs de lucidité.
J'ai le don d'en revenir au même point. Samedi soir, au concert de La Rue Kétanou, j'ai l'impression d'avoir balayé de la main un an et demi d'efforts. Calmement, simplement, j'ai ouvert les yeux entre deux chansons, et j'ai décidé de ne plus m'en faire. De laisser les choses suivre leur cours, puisque je ne parvenais pas moi-même à les changer.
Ce n'est plus une ardeur dans mes veines cachées, comme dirait l'autre, C'est Vénus tout entière à sa proie attachée.

Sans compter qu'il faut gérer tout ce que j'ai pu dire à droite à gauche. Depuis quelques semaines, j'avais fini par parler plus ou moins de certaines personnes à certaines amies. Entre elle qui pense que.. et elle qui croit que..
Mais aucune ne sait vraiment la vérité. Elle est pourtant toute bête, elle se devine en filigrane derrière chacune de mes phrases, dans chacun de mes regards, dans chacune des chansons que j'écoute. C'est un immense puzzle à reconstituer, certes, mais il suffirait de se pencher dessus pour voir plus clair.
La seule fois où quelqu'un a vaguement approché la vérité, il s'agissait d'une blague. Mais ça m'a troublée. Quelque soit le degré d'humour qui animait sa remarque, c'était la première fois qu'on osait supposer que.. Et c'est là que je me suis rendue compte qu'il fallait être aveugle pour ne pas l'imaginer.

Alors là, je suis dans un état de fatigué généralisée. Je suis vidée de mes forces, je n'attends plus qu'une chose : les vacances, et je me laisse porter par le cours des choses, incapable que je suis d'y changer quoique ce soit.

Car, comme aurait dit mon ami Epictète, s'il avait vécu quelques siècles plus tard : "Fuck ce qui ne dépend pas de nous".
Avoué par Marynn, à 20:01 du côté "Pair & Passants" de la Rue du Temps.



Modèle de mise en page par Milouse - Version  XML   atom